Récupérer du pouvoir d’agir individuel, social et politique en faisant corps. 

Le corps est notre principale interface avec le monde, il nous informe de ce qui va ou de ce qui ne va pas, dans notre environnement et à l’intérieur de nous-mêmes.

Pour FEU, le sport social vise à (re)prendre contact avec notre corps, apprendre à l’écouter, l’apaiser et/ou le renforcer, pour en faire notre allié. Ces ateliers cherchent à améliorer la conscience et connexion corporelles, se dépenser et se détendre, de manière ludique et collective.

Ils questionnent les stéréotypes et les normes qui se rejouent dans le sport et les activités physiques pour mieux s’en émanciper. FEU utilise ainsi le sport social comme un outil politique, de prévention mais aussi de soin (pour apaiser des symptômes liés à des violences par exemple et cultiver le soin de soi).

Nos ateliers mêlent des activités d’éducation populaire, des exercices sportifs et de respiration, des jeux coopératifs ainsi que des visualisations.Tout en s’adaptant aux capacités physiques de chaque participant⋅e, nous cherchons à stimuler la confiance et l’écoute de nos corps, à pratiquer le consentement, à révéler notre puissance individuelle et collective.

Nous stimulons l’esprit d’équipe et de solidarité, le plaisir de faire par et pour soi-même et avec les autres.

Exemple d’actions : Nos ateliers de sport avec l’association Libre Terre des Femmes 

FEU anime des ateliers de sport social avec des femmes soutenues par l’association Libre Terre des Femmes, une structure au service de femmes concernées par des violences physiques ou psychologiques. Nous nous retrouvons régulièrement au Centre social Rosa Parks, dans le 19ème arrondissement de Paris, et coconstruisons des exercices sportifs et des jeux coopératifs pour nous dépenser et nous détendre, stimuler la confiance et l‘écoute de son corps, ainsi que la sensation d’être partie prenante d’un groupe.